Pèlerinage à l’Himalaya : Mon incroyable aventure.

Pèlerinage à l’Himalaya : Mon incroyable aventure.

La vie dans toutes ses formes n’est qu’une combinaison d’aventures.

De beau matin, l’équipe se prépare pour une aventure qui ne s’effacera pas avec les temps. Ce matin, tous nous somme pousser par le gout du risque, il est six heure du matin, nous revenons tous du grand sommeil, beau, vivant et élégant, nous partions à la rencontre d’un paradis oublié entre le ciel et la terre, d’une terre perdue.

Au départ, on fait semblant de ne pas se connaître, nous nous regardions d’un faible regard sans pour autant dire un mot, le silence nous gouverne encore, on s’est dit parfois un timide bonjour.

Cette expérience est certainement la plus magique de ma vie. A sept heure pile, notre aventure commence, dans l’arrière du bus, une équipe jeune anime, un jeu de carte et de tombola sont au menu, nous avions tous les cœurs chauds, des vraies marchant des rêves, mais une seule vérité été que nous étions des hommes à problème à la recherche de la paix de l’esprit, bien que ce matin nous choisissions un dialogue des sourds, nous savions bien que notre point d’équilibre été le sommet de la terre.

A peine parti de Delhi, la vie devient ennuyante, car nous avions choisi un langage des sourds et nous nous réalisions enfin que Delhi n’été plus au coin de la rue, et que nous constituons désormais une famille, mais aussi parce que nous comprenions aussitôt que nous avions entreprit un chemin sans retour peut être et que les derniers moments de jouir de la vie été ces derniers, nous pensions tellement à notre petit Eldorado, le paradis perdu entre le ciel et la terre.

Maman j’ai raté le Gange !

A quelques milliers des kilomètres de Delhi les petites merveilles commencent à faire leur apparition, je vois devant une étendue d’eau sans fin, un grand fleuve aux couleurs du ciel dans la province d’Uttar Pradesh, la terre sainte de l’indouisme. Je somnole un peu, quand un marchand de rêve vint à mon siège et me fit signe que c’était le fleuve Gange mais il dit Ganga en Hindi je ne lui capte pas vraiment, et je lui pose la question une seconde fois si il parlait bien du fleuve Gange ! Et il répliqua oui, j’étais époustoufler, émerveiller et je fis un grand cri de joie, j’étais dans les terres saintes de l’indouisme ! Mais je n’ai aperçus que peu car Vishnu notre chauffeur ne s’arrête pas et continu son chemin, le niveau de la mer est en hausse. J’aurais tellement souhaité avoir un souvenir vivant du Gange, j’aurais plongé mes deux pieds dans l’eau bénie car là tous les hindous viennent se purifier une fois leur vie. Là brille aussi Vârânasî, la terre sainte, la source vivante de l’hindouisme, selon la mythologie indienne, Vârânasî est la place sainte de l’humanité, ceux qui meurent à Vârânasî ne sont pas réincarner ils atteignent directement la divinité, Vârânasî là où le monde entier vient décéder pour mettre fin au cycle interminable de la vie, j’ai raté d’écrire mon propre histoire.

Premier arrêt : Le petit déjeuné qui devient amitié !

Apres plus de quatre heures de route, Vishnu fait son premier arrêt dans un village à Uttar Pradesh, où nous sommes invités à partager un petit déjeuné en famille, là nous avions appris à nous connaitre, l’ambiance été bonne. Le déjeuner finit, nous postions sur une première photo de famille, photo souvenir pour les marchands des rêves on dirait Lens Armstrong et ses collègues en dix-neuf-cent soixante-neuf quand ils entreprirent leur premier aventure en destination de la lune avec le souci de revoir un jour la vie, nous aussi nous signions là un au revoir. Vishnu repris sa route, désormais on s’offre des bonbons et chocolats d’amitié, je me suis souvenu des paroles de la chanson préférée de ma mère qui disait : Met ta main dans la main de celui qui tend la sienne, il sera ton ami et le sera jusqu’à la fin des jours.

L’Orageuse arriver à Uttar Khand

Notre arriver à Uttar Khand, communément abrégé UK, est un peu orageuse, Vishnu est détecté de loin et les gardes de frontière nous demande de stopper. Vishnu est auditionnée sur le nombre des passager à bord de son bus, il essaie de tromper la vigilance des policiers en gardant secret deux de nous, et oui ! Il y avait excèdent, mais nous étions touriste, il fallait quand-même un peu de tolérance, ouf ! La loi c’est la loi, nul n’est supposer être au-dessus de la loi. Un jeu qui risquait gros et qui finalement avait mal tourné. Nous somme transférer dans un autre bureau un peu plus loin où nous somme passible d’amande et on exige de Vishnu le paiement des taxes exorbitantes, nous somme alors contraint d’attendre pendant plus d’une heure pour enfin partir de la frontière d’Uttar Khand. Les hommes de côte travail avec une lenteur exceptionnelle, Mais nos cœurs brillent de soleil car le fameux Himalaya se dessine dans l’horizon, l’Himalaya ! L’horizon devenait ombrageux et la fraicheur nous frappait des yeux.

Deuxième arrêt : Le Repas d’après-midi qui devient cauchemar

Désormais nous somme au pied de l’Himalaya, le pied de cette merveille est d’une fraicheur romantique.

Au pied de l’Himalaya nous avons partagé notre repas d’après-midi en famille dans un restaurant végétarien où nous sommes vraiment les bienvenus, les visages des villages les témoignent.

Tous les visages été braquer sur nous, nous nous amusions et avions passé du beau moment. Pendant que nous nous réjouissions de la vie, à l’extérieur l’histoire tourna à son combe, nous quittions le restaurant pour entreprendre notre incroyable monter sur l’Himalaya, Vishnu vint et informa à monsieur Aru que le bus n’était pas en Etat d’entreprendre cette tragédie, que le bus avait besoin de quelques entretiens.

Nous étions obligés d’user de patience, nous ne verrons pas les pointures de l’Himalaya aussi tôt, mais cela ne sera pas mainte affaire car nous restions incertain pendant plus de cinq heures du temps. Fatiguer, épuiser et désespéré, alors monsieur Aru essaie à plusieurs reprises de négocier un bus de relais mais personne ne veux non plus prendre le risque à cette heure-là, nous n’étions pas chanceux du tout, le brave Aru se tourmente mais nous ne sommes que contraint d’attendre.

Ce n’est qu’en ce moment que nous nous rendions compte que nous étions dans un grand danger permanent de grimper sur l’Himalaya à ceux heures tardives, un vraie cauchemar, nous avions tous perdu le sourire. J’avais tellement envie de retourner à Delhi, mais Delhi je ne pouvais le voir ni devant ni derrière moi.

Qui ne risque rien n’a rien

Apres plus de cinq heures d’attente, Vishnu enfin réapparait au bord de son bus, et nous applaudîmes. Il faisait noir déjà, nous avions commencé à écrire notre comédie, objectif, grimper sur l’Himalaya et se poser sur son sommet, les marchands des rêves! Une épreuve à haut risque, mais Vishnu est natif de ce coin du pays, il maitrise bien le coin ainsi que ses routes mesquines font presque deux mètres et demi de largeur, ne peux grimper sur l’Himalaya, qu’un chauffeur expérimenté.

Cette route contourne les montagnes et c’est la plus grande des merveilles que les anglais ont offert aux indiens. Là mon cœur me lâche! Je me retrouve entre la vie et la mort, mais je répète sans cesse : « Richie, soit fort car qui ne risque rien n’as rien ». C’est vraie, si je ne pouvais supporter, je ne vous larguerais pas ce brillant article sur l’Himalaya. Voilà pourquoi j’introduis cet article en disant que la vie dans toutes ses formes n’est qu’une combinaison d’aventures.

Durant la monter certain ne préfère pas assister à ce théâtre, ils choisissent de s’endormir. Se disant, soit je rêverais la vie, soit je me lèverais dans une autre planète peut être. Nous somme parti à la recherche de Mukeshtwar, le paradis perdu entre le ciel et la terre, nous ne voyions les hommes plus que comme des petites fourmis, le ciel comme la terre et la terre comme le ciel avec des milliers des lampes qui brillent sur terre qui, vu d’espace forme vraiment des merveilleux étoilés.

Vishnu nous rassure vraiment par son air très calme, mais à vraie dire, à chaque fois que le bus fait un arrêt sur la montagne on se sent perdu…parti à la recherche d’un monde imaginaire. En ce moment, moi je pense à ma mère Kathy qui attend me revoir avec impatience.

Mukeshtwar, Le Paradis caché entre le ciel et la terre

Loin dans les hauteurs, apparait une merveille, un patrimoine pour l’humanité, que nombreux d’entre nous ignore, cette merveille c’est le lac Bhimtal situé sur le cratère de l’Himalaya.

Un lac sur la montagne, passionnant ! Vous serais éblouies de rencontrer un tel patrimoine sur le toit de l’humanité. Le nom Bhimtal tire ses origines directement de la mythologie indienne qui dit qu’un homme du rang des princes s’appelait Bhimtal, il était mal aimé par ses frères et sœurs qui lui traumatisèrent alors il décida de partir vivre loin dans un monde unique où il pouvait se construire une tranquillité d’esprit.

Bhimtal trouva refuge sur l’Himalaya où il vivra une grande pénurie d’eau et qui départ ses pouvoir il créa le lac Bhimtal pour se baigner, Une merveille à Mukeshtwar. J’ai eu la reflexe de regarder au bas de nos pieds et j’ai vu la terre, au-dessus de nos têtes le ciel, et un patrimoine entre le deux.

Quelques mètres plus tard, on retrouve une autre merveille du nom de Rita, un fruitier que vous connaissez bien sûr aux fruits très amers. Mais ici je vous relaterai une petite magie, et bien, ici c’est n’est pas la même histoire, les fruits de Rita sont bien sucrée, l’unique place au monde où vous retrouver ce type. Cet arbre à aussi sa place dans la mythologie indienne. Nanak été un chef spirituel communément appeler ici guru, il était en pèlerinage sur l’Himalaya avec ses adeptes, ses adeptes firent affamer et lui rapporta le problème qu’ils étaient en pénurie alimentaire, l’homme tourne son regard, dit aux adeptes, allez-y prenez les fruits de cet arbre et manger. Les adeptes répliquèrent : « Maitre, ces fruits sont amères», l’homme se retourna et dit : « Prenez ces fruits et manger, à partir d’aujourd’hui il est béni et ses fruits sont sucrés» soudain, les adeptes prirent quelques-uns et mangèrent, le fruit fut doux comme du miel, depuis ce jour c’est l’unique place sur terre où Rita donne les fruits sucrés, raconte la mythologie indienne. Impressionnant n’est-ce-pas? J’étais personnellement intéressé à ce nom car cela me rappelle ma tante Rita qui perdu la vie dans un accident tragique d’avion, que son âme repose en paix.

Au fur et à mesure que nous grimpions, le ciel devint une nappe céleste folle d’étoile et d’êtres célestes, à onze heures pile enfin l’odyssée prit fin, nous arrivâmes sur les bouts de l’Himalaya à Frehindi village. Merci Vishnu!

La vie comme dans ses débuts

Nous avions atterrit humm! Les villageois arrivèrent, un accueil chaleureux nous a été réserver, dans un monde nouveau, on ne se sent pas intégrer dans les premières minutes.

Les villageois vraiment sympathiques, ils déchargent le bus, mais avant tout un dîner traditionnel nous a été réserver. Apres, le chef du village nous a présenter nos locaux, de rêves moi j’été dans une caserne semblable aux petites caserne de Disney j’ai pensée à ma petite femme qui adore les princesses. Ma caserne au sommet de l’Himalaya, mes jours de rêve! Rataplan.

La vie est encore vraiment traditionnelle sur Himalaya, on dirait qu’elle serait encore dans ses débuts, tout est vert, vous avez le beau décore des nuages qui vole sur les montagnes à quelques mètres de vous, l’inoubliable ! De beau matin, à cinq heures, le soleil se lève, tout grand. Les villageois nous réveils pour partager le petit déjeuner, et juste après nous débutions notre pèlerinage, nous somme parti rencontrer les villageois une par une, ils nous ont servi des fruits, ces indiens ressembles vraiment aux indiens d’Amérique, les visages ovales et taille moyenne.

Vous retrouvez des galons doré au coup et pied des femmes mariés. Juste après, nous somme parti pour faire le saut sur la montagne, magnifique. L’Himalaya renferme beaucoup des secrets préhistoriques non encore expliqué qui enrichiraient votre esprit critique et doute méthodique.

Une légère pluie balance la cadence, mais nous permet tout de même de voir le White Himalaya qui apparait dans l’horizon. Les pluies sont les pluies grands dangers dans cette zone de la terre, souvent victime des pluies torrentielles et l’impact est tout de même différente.

Cette zone est aussi une zone de mélange ethnique, les villageois sont issu de l’indien et du chinois, la race intermédiaire.

Ma pensée Philosophique

L’Himalaya est l’unique place au monde où la vie est encore pure, où la nature communique encore avec les hommes, où la nature répond à toutes vos questions et là vous pouvez retrouver la paix de l’esprit. Mon séjour m’a permis de formuler ma doute méthodique qui vous fera beaucoup réfléchir: « Et si ma vie, Et si tous ce qui arrive au monde, les chaos et les tourments ne seraient que mon rêve, ne seraient qu’un songe, et que je sursauterais peut-être un jour de ce sommeil, que je me retrouverais sur mon lit, petit garçon peut être, dans un monde dans ses débuts, bien et beau, et que j’écrirais un gros livre vert pour prédire aux hommes ce qui devra arriver avec le temps (le déluge), j’éviterais au monde ces prédateurs qui lui ont ensanglanté et enragé les hommes. Et si nos vies ne seraient que le songe de quelqu’un d’autre?».

La fin du pèlerinage

Le troisième jour nous étions très matinale car le ciel n’été pas de bonne augure, le temps ne nous a pas été favorable, nous avons laissé trainer derrière nous toute une histoire, pour rendre aux villageois tout ce qu’ils nous ont donné, nous avions joué au colin Maillard.

Article écrit par Richie Ronsard Lontulungu ( Notre Prof. a’ Le Frehindi )